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Par Dubroca, écrit le 27/08/2015 à 10h57Merci de votre réponse.
Je suis confus d'avoir posé une question aussi incongrue (voire stupide), vous aviez déjà tout expliqué au chapitre 1, unité 9.
Avec mes excuses, encore merci.
Bien cordialement,
H. Dubroca
Je suis confus d'avoir posé une question aussi incongrue (voire stupide), vous aviez déjà tout expliqué au chapitre 1, unité 9.
Avec mes excuses, encore merci.
Bien cordialement,
H. Dubroca
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attention en effet! Les deux consonances parfaites, la quinte et l'octave, peuvent tout à fait, et sans aucun problème, arriver par mouvement parallèle des deux voix, si l'une des deux voix procède par mouvement conjoint. Ceci est d'une très grande importance. L'exemple en est justement la cadence parfaite: en la mineur, la basse est forcément mi-la (dominante-tonique), et ceci indifféremment quinte descendante ou quarte ascendante, d'une part, et à l'une des trois autres voix sol#-la, sensible-tonique. Si on a à la basse la quarte ascendante mi-la en même temps que le mouvement sensible tonique à une autre voix, on a forcément l'octave directe de tonique, et ceci est ...EXCELLENT. Reportez-vous à toutes les cadences parfaites avec quarte ascendante à la basse, vous trouverez cette octave directe des milliers de fois. j'insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas d'une "autorisation", mais d'une chose excellente.
C'est le cas pour les quintes directes également. Par exemple: si-ré do-sol/ la-fa do sol/ do-mi sol-ré/ la -fa sol-ré. Dans chacun de ces enchaînements excellents une des voix est conjointe. Il en va de même pour les octaves directes.
j'espère avoir répondu à votre question.
Bien cordialement
Jean-Louis Fabre